Heureux présage pour ce Mama de 120 chambres dont la moitié dévoile la cathédrale Saint-Bénigne. Les vignes alentour en frissonnent d’allégresse lorgnant du côté du restaurant de 202 places et du patio extérieur, du CinéMama de 28 places, des deux karaokés, des quatre ateliers et… du terrain de pétanque. Un Mama bon vivant, épicurien, joyeux, joueur, original. Bourguignon !
Mama Shelter, rue du Maret, jouxtant la Cathédrale Saint-Bénigne et le jardin Darcy, se déploie dans l’ancienne caisse d’assurance maladie, immeuble brutaliste des années soixante, répertorié aux bâtiments de France.
Magnifier sans trahir
Métamorphoser des bureaux administratifs, assemblage avant-gardiste de béton et de verre en valorisant les points forts : luminosité, localisation, pour offrir dans les 120 chambres des échappées belles sur les flèches et les gargouilles de la cathédrale, les jardins alentour, le ciel. Adoucir sa façade de béton de quelques pierres blondes de Bourgogne. Et, décliner sur les cinq étages des chambres et suites aux belles proportions, sous les combles pour les plus vastes, surplombant le restaurant pour les plus audacieuses, prolongées de bow-window et percées d’un hublot pour suivre la danse des nuages. Ou comme le cannage des têtes de lit dont motifs et couleurs reprennent les fameux toits précédemment cités. Ce Mama est un enfant gâté, ludique, paré de teintes chaudes, terra cotta, rose poudré, lie de vin, vert, happées de ce terreau fertile. Ses chambres et suites quatre étoiles, se distinguent, une première chez Mama, par des toilettes séparées, des vasques Tom Dixon, de grandes douches, et pour certaines des baignoires. Et des détails qui affirment sa personnalité : un banc charmant, un bureau dont le plateau en forme d'échiquier se retire pour jouer… même au lit. Mais surtout inondées par la lumière naturelle, généreuse, magicienne, qui anoblit chaque recoin, donne du relief, de la profondeur, même au béton.
Chaque Mama Shelter raconte une histoire à celles et ceux qui y séjournent. Une histoire d’amour, de liens tissés entre les hôtes et les habitants alentour qui sympathisent autour des bars, de la véranda ou du patio extérieur, dans les karaokés, le CinéMama de 28 places, voire dans les ateliers qui se prêtent autant aux séminaires, qu’aux fêtes entre amis. L’un, le plus vaste peut accueillir 60 personnes, avec sa surface de 98 m2 prolongée par une terrasse de 20 m2, un de 15 places, un studio de 10 places et, parce qu’on est au cœur du vignoble, un atelier conçu comme un espace de dégustation avec une table haute, des murs vitrés conçus comme une vinothèque dont les culs de bouteille forment un décor très bourguignon.
La convivialité déclinée par une équipe dans les starting-blocks qui trépigne d’accueillir ses premiers hôtes et d’enrôler d’autres membres parés pour cette aventure…
Mama ne pouvait mieux choisir que Dijon élue, en 2022, en tête des métropoles à taille humaine où il fait bon vivre*.
Serge Trigano, à l’origine avec ses fils Jérémie et Benjamin, de la saga Mama, confie :
Dijon, à 1 h 34 en TGV de Paris et 1 h 59 de Lyon cumule, sans se hausser du col, les atouts. Dijon, qui enthousiasme tout autant Cédric Gobilliard, Directeur Général de Mama Shelter,
Mama Shelter, rue du Maret, jouxtant la Cathédrale Saint-Bénigne et le jardin Darcy, se déploie dans l’ancienne caisse d’assurance maladie, immeuble brutaliste des années soixante, répertorié aux bâtiments de France.
« Une grande boîte en verre, lumineuse, à six minutes à pied de la gare, au cœur de la ville »explique Benjamin El Doghaïli, architecte à la tête du studio de création de Mama Shelter contemplant, son « terrain de jeu, et ajoutant « l’ambiance de Dijon, emporte, inspire, rend léger, primesautier ».
Magnifier sans trahir
Métamorphoser des bureaux administratifs, assemblage avant-gardiste de béton et de verre en valorisant les points forts : luminosité, localisation, pour offrir dans les 120 chambres des échappées belles sur les flèches et les gargouilles de la cathédrale, les jardins alentour, le ciel. Adoucir sa façade de béton de quelques pierres blondes de Bourgogne. Et, décliner sur les cinq étages des chambres et suites aux belles proportions, sous les combles pour les plus vastes, surplombant le restaurant pour les plus audacieuses, prolongées de bow-window et percées d’un hublot pour suivre la danse des nuages. Ou comme le cannage des têtes de lit dont motifs et couleurs reprennent les fameux toits précédemment cités. Ce Mama est un enfant gâté, ludique, paré de teintes chaudes, terra cotta, rose poudré, lie de vin, vert, happées de ce terreau fertile. Ses chambres et suites quatre étoiles, se distinguent, une première chez Mama, par des toilettes séparées, des vasques Tom Dixon, de grandes douches, et pour certaines des baignoires. Et des détails qui affirment sa personnalité : un banc charmant, un bureau dont le plateau en forme d'échiquier se retire pour jouer… même au lit. Mais surtout inondées par la lumière naturelle, généreuse, magicienne, qui anoblit chaque recoin, donne du relief, de la profondeur, même au béton.
Chaque Mama Shelter raconte une histoire à celles et ceux qui y séjournent. Une histoire d’amour, de liens tissés entre les hôtes et les habitants alentour qui sympathisent autour des bars, de la véranda ou du patio extérieur, dans les karaokés, le CinéMama de 28 places, voire dans les ateliers qui se prêtent autant aux séminaires, qu’aux fêtes entre amis. L’un, le plus vaste peut accueillir 60 personnes, avec sa surface de 98 m2 prolongée par une terrasse de 20 m2, un de 15 places, un studio de 10 places et, parce qu’on est au cœur du vignoble, un atelier conçu comme un espace de dégustation avec une table haute, des murs vitrés conçus comme une vinothèque dont les culs de bouteille forment un décor très bourguignon.
La convivialité déclinée par une équipe dans les starting-blocks qui trépigne d’accueillir ses premiers hôtes et d’enrôler d’autres membres parés pour cette aventure…
Mama ne pouvait mieux choisir que Dijon élue, en 2022, en tête des métropoles à taille humaine où il fait bon vivre*.
Serge Trigano, à l’origine avec ses fils Jérémie et Benjamin, de la saga Mama, confie :
« Depuis presque 15 ans, Mama Shelter s’efforce d’anticiper les désirs de découverte, de rencontre, de bonheur de ses fans. Davantage encore après une pandémie qui a bouleversé le monde, bousculé nos modes de vie, de pensée, de travail, Mama précède l'évolution de la société, le désir de voir ailleurs, en s’implantant dans des villes, en région, réputées pour leur douceur de vivre, leurs traditions, leur mieux vivre ensemble. C’est donc naturellement que le dernier-né de la famille Mama Shelter va voir le jour à Dijon où nous vous attendons avec plaisir. ».
Dijon, à 1 h 34 en TGV de Paris et 1 h 59 de Lyon cumule, sans se hausser du col, les atouts. Dijon, qui enthousiasme tout autant Cédric Gobilliard, Directeur Général de Mama Shelter,
« Moult me tarde ! Cette devise de Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, traduit notre impatience d’ouvrir à Dijon notre dernier Mama. Mama et Dijon partagent les mêmes valeurs d’hospitalité bienveillante, d’accueil chaleureux, festif, épicurien. Mama Dijon détourne avec humour, impertinence et respect les symboles forts de cette région vigneronne pour la révéler à ses hôtes français et étrangers. »
On Aime !
Une moutarde Mama Shelter mais pas n’importe laquelle, signée Edmond Fallot, maison familiale, indépendante, crée en 1840. Une Maison qui n’utilise que des graines cultivées dans la région, broyées à la meule de pierre pour conserver toutes leurs qualités gustatives. Pour pimenter vos mets, de quelques saveurs mêlées de Mama et de Bourgogne. Vendue (Pot en grès 250 gr, 12€) exclusivement au Mama Shelter de Dijon… Rien que ce pot vaut le déplacement.
*classement établi, depuis 2018, par le cabinet immobilier Arthur Loyd.
Une moutarde Mama Shelter mais pas n’importe laquelle, signée Edmond Fallot, maison familiale, indépendante, crée en 1840. Une Maison qui n’utilise que des graines cultivées dans la région, broyées à la meule de pierre pour conserver toutes leurs qualités gustatives. Pour pimenter vos mets, de quelques saveurs mêlées de Mama et de Bourgogne. Vendue (Pot en grès 250 gr, 12€) exclusivement au Mama Shelter de Dijon… Rien que ce pot vaut le déplacement.
*classement établi, depuis 2018, par le cabinet immobilier Arthur Loyd.